Catégorie : Management et agilité managériale

Le manager béni oui oui, excès de confiance en l’autre

  Comme son non l’indique,  il dit « oui » à tout et à tout le monde, ce qui peut créer des situations inextricables. A quoi reconnait t-on le manager béni oui oui ? De manière générale, il a tendance à accéder à toutes les demandes d’où qu’elles émanent. Mais ce qui est le plus flagrant c’est le fait que les moyens à mettre en œuvres sont eux, complètement laissés pour compte. Ce sont donc des « oui » massifs donnés sans exiger de contreparties et qu’il distribue à tout va.

Le manager passe plat manque de confiance en lui

  Dans la hiérarchie des générateurs de stress, Le manager « passe-plat » est peut être le moins toxique (quoi que…). A quoi reconnait t-on le manager passe plat? Il va créer du stress en ajoutant à un climat déjà tendu, des demandes, aussi inutiles que floues. Avec lui, il faut régulièrement produire des rapports, des analyses, des prévisions qui consomment une énergie folle et ne sont pas d’une grande aide dans les taches du quotidien.  Il change régulièrement d’avis et il n’est pas rare de devoir faire et refaire le travail et ces demandes sont peu claires et changeantes. A l’inverse,

Le manager Don Quichotte, un hyper investi

  Le manager Don Quichotte, aime lutter contre les moulins à vent… A quoi reconnait t-on le manager hyper investi ? Le manager hyper investi se reconnait au fait que les projets dont il se saisit prennent rapidement une dimension dramatique. Les nouvelles activités sont envisagées sous un double spectre, une excitation qui frôle l’emballement accompagné d’une peur disproportionnée. Cette ambivalence est caractéristique du manager qui souffre d’hyper investissement et conduit bien souvent à un comportement en yo-yo, qui alterne entre un investissement disproportionné au regard des enjeux et un désengagement important quand le but pourrait être touché du doigt. Quand les affaires