Étiquette : confiance en soi
Les psychologues P.R. Clance et S.A. Imes en 1978 on été les premières à évoquer le concept du syndrome de l'imposteur. Ce complexe tes aussi appelé syndrome de l'imposture, complexe d'imposture ou syndrome de l'autodidacte. Bien souvent, il s'exprime sous la forme d'un doute persistant qui nuit au sentiment de légitimité dans son statut actuel qu'il soit personnel ou professionnel et s'accompagne d'un sentiment de culpabilité et d'une peur d'être, tôt ou tard, démasqué dans son imposture. Cela vous parle ? Et si vous veniez évaluer votre niveau d'imposture.
Les entreprises se coupent les cheveux en quatre pour développer les performances et l'engagement de leurs employés dans le but de booster leur productivité et leur réactivité. Après avoir essayé tout un tas de choses, sans résultat durable, elles se tournent vers le management par la confiance. Est-ce que cela fonctionne et si oui comment fait-on, sont les questions auxquels les neurosciences peuvent apporter des réponses.
Je vois régulièrement des articles qui donnent des trucs et astuces pour vaincre la procrastination. Le problème est que la procrastination n'a pas une cause unique et les trucs et astuces que je peux lire ne fonctionnent du coup que rarement. Avant de choisir sa stratégie de résolution, il est important de comprendre l'origine de son comportement. Essayons de voir quelles peuvent être les causes des procrastinations et comment y remédier.
Je suis de plus en plus frappé dans ma pratique de coach par une recrudescence de burnout chez les moins de 35 ans. A l'instar des soleils qui brillent d'autant plus qu'ils vivent moins longtemps, on peut se demander pourquoi ce syndrome touche plus particulièrement la génération Y.
Le concept de Servant leader a été popularisé dans les années 1970 par Robert K. Greenleaf, qui cherchait un modèle alternatif au leadership autoritaire. Il a été remis au goût du jour depuis, grâce au développement des méthodes agiles dans l'entreprise depuis les année 2000. Il revient en force, sous différent nom comme celui du leader jardinier dans les modèles alternatif de gouvernance que sont les entreprises libérées ou agiles.
Jeudi 19 mai s’est déroulé dans le cadre de la Coaching Week organisée par ICF une soirée consacrée au génie humain avec en invité spécial François Delivré. A cette occasion une centaine de personnes se sont regroupées dans les locaux d’Airbusiness Academy à Toulouse/Blagnac pour participer à des ateliers et à la conférence. Retour sur l’évènement et définition du génie humain
Le Test d’évaluation personnelle de l’intelligence émotionnelle (Assessing Emotions Scale), publié par le psychologue australien Nicolas S. Schutte en 1998 (1), évalue l’intelligence émotionnelle telle que définie par Peter Salovey et John Mayer (1997). Popularisé par le psychologue Daniel Goleman en 1995, le concept d’intelligence émotionnelle est définie par ses auteurs de la manière suivante : « l’habileté à percevoir et à exprimer les émotions, à les intégrer pour faciliter la pensée, à comprendre et à raisonner avec les émotions, ainsi qu’à réguler les émotions chez soi et chez les autres ». Cette définition sous entend la mobilisation de plusieurs capacités pour …
Entreprise libérée, nouvelles formes de management, quels est le point de vue de Dominique Pon directeur charismatique de la clinique Pasteur à Toulouse ? Faire se diffuser le management pas la confiance, par quels moyens ? Peut on aller plus loin que la confiance ?
Le Copenhagen Burnout Inventory a été développé suite à un certain nombre de limites rencontrés avec le MBI (Maslach Burnout Inventory), les auteurs, Kristensen & al. (2005), souhaitent pouvoir évaluer la composante centrale du burnout, c’est à dire la le sentiment de fatigue et d’épuisement et les facteurs auxquels les individus attribuent cet épuisement au travers de trois dimensions.
Kévin Chassangre est psychologue, doctorant en psychopathologie à l’université de Toulouse et co-auteur avec Stacey Callahandu du livre « Traiter la dépréciation de soi : Le syndrome de l’imposteur », il nous parle du syndrome de l’imposteur en entreprise et nous allons voir avec lui, comment le repérer, quelles en sont les origines et comment s’en prémunir.
De plus en plus d'études montrent que l'estime de soi est au cœur de la performance des personnes, des équipes et des entreprises. Les bénéfices d'une bonne estime de soi sont nombreux : une meilleure lucidité, une stabilité émotionnelle, une meilleure résistance au stress et à l'échec, une plus grande capacité à se dépasser et gagner en assurance.
De plus en plus d'études montrent que le stress au travail est l'ennemi professionnel N°1. Dans un contexte où tout se complexifie et où l'incertitude devient monnaie courante, il est aisé de concevoir que le stress soit de plus en plus ressenti par les salariés en entreprise ou dans les organisations.
Marchés tendus, concurrence sauvage, moyens en baisse, consommation en berne sont autant d’exhausteurs de tensions. Le management, dans ses origines, se pose comme garant du cadre et ce, de manière à prévenir le chaos et rendre plus performante l'entreprise.
Psychopathe, pervers narcissique, despote …. ce type de manager est affublé de tout un tas de noms d’oiseaux. A quoi reconnait t-on le manager tyran? Il joue avec les sentiments de peur et de culpabilité et utilise le groupe pour parvenir à ses fins. Mieux vaut ne pas être victime de ses attaques, ridiculisation, attaques personnelles, dévalorisation, propos désobligeants, menaces déguisées ou non sont un arsenal qu’il n’hésite pas à dégainer. Il dit oui à lui-même de manière inconditionnelle, seul ce qui le concerne l’intéresse. Il a des droits, les autres ont des devoirs envers lui et tout les moyens …
Idéaliste et intolérant, infatigable et épuisant … il est un OVNI pour beaucoup. A quoi reconnait t-on le manager bulldozer ? Le manager bulldozer est un monstre sacré, il avance sans se retourner. Il travaille énormément, il travail bien, mais le nombre de laissés pour compte et les « victimes » collatérales sont nombreuses. Tout ceux qui ne fonctionnent pas comme lui sont écartés et les jugements qu’il a à leur endroit ne sont pas très flatteurs.
Le manager « soupe-au-lait » n’a pas l’air de vous apprécier, on se demande même si il ne vous déteste pas, cela dit, vous le lui rendez bien. A quoi reconnait t-on le manager soupe au lait ? Il s’emporte facilement, tous ce que vous amenez est rejeté. Tout l’énerve en vous et il a bien du mal à ne pas le montrer. Vous finissez même par vous demander si il ne nourrit pas une haine féroce et personnelle à votre encontre. Les discussions sont animées et finissent souvent en éclat de voix, y compris en tête à tête.
Le manager parano, se méfie de tout et de tout le monde… A quoi reconnait t-on le manager parano ? Il va dire non par défaut, toute idée qui n’émane pas de lui est rejetée de manière systématique. Par ailleurs, il ne propose lui même pas grand choses, son mode d’interaction se limite plutôt à voir les inconvénients des propositions des autres. A voir toujours le mal partout, il fini d’ailleurs par si confronter ou le provoquer. Son extrême méfiance créer un climat de tension peu propice aux échanges fructueux.
Comme son non l’indique, il dit « oui » à tout et à tout le monde, ce qui peut créer des situations inextricables. A quoi reconnait t-on le manager béni oui oui ? De manière générale, il a tendance à accéder à toutes les demandes d’où qu’elles émanent. Mais ce qui est le plus flagrant c’est le fait que les moyens à mettre en œuvres sont eux, complètement laissés pour compte. Ce sont donc des « oui » massifs donnés sans exiger de contreparties et qu’il distribue à tout va.
Dans la hiérarchie des générateurs de stress, Le manager « passe-plat » est peut être le moins toxique (quoi que…). A quoi reconnait t-on le manager passe plat? Il va créer du stress en ajoutant à un climat déjà tendu, des demandes, aussi inutiles que floues. Avec lui, il faut régulièrement produire des rapports, des analyses, des prévisions qui consomment une énergie folle et ne sont pas d’une grande aide dans les taches du quotidien. Il change régulièrement d’avis et il n’est pas rare de devoir faire et refaire le travail et ces demandes sont peu claires et changeantes. A l’inverse, …
Qu’est-ce que le burnout Le syndrome de Burnout appelé encore syndrome d’épuisement professionnel (SEP) est un terme générique qui désigné un état de fatigue émotionnel, mental et physique qui se caractérise par un manque de performance et de motivation après une longue période de surmenage ou de stress accumulé. Il peut avoir des effets très néfastes sur la santé et évoluer en dépression profonde et même mener au suicide. Le Bureau international du travail rappelle dans une étude que dans le monde 2,2 millions de travailleurs meurent chaque année dans le cadre de leur travail, à la suite d’un accident …
L'Échelle d'estime de soi de Rosenberg, mis au point par Morris Rosenberg en 1965, demeure le test le plus utilisé dans la recherche en psychologie pour mesurer le niveau global d'estime de soi. Testez-vous !